Skilgannon le Damné a disparu des pages de l’histoire. Il a quitté les terres de Naashan, emportant avec lui les légendaires Épées de la Nuit et du Jour. Les assassins envoyés à ses trousses par la Reine Sorcière furent incapables de le retrouver.
Trois ans plus tard, loin de là, une foule déchaînée se rassemble autour d’un monastère. Elle est accueillie par un prêtre désarmé. Mais en quelques terrifiantes secondes, la situation bascule, et la rumeur se répand à travers les terres de l’Est : Skilgannon est de retour.
Il doit maintenant voyager à travers un royaume hanté par les démons en direction d’un temple mystérieux et de la déesse sans âge qui y règne. Toujours poursuivi par des tueurs et une armée d’ennemis face à lui, le Damné se lance dans une quête pour ramener les morts à la vie.
Mais il ne voyage pas seul. L’homme qui marche à ses côtés est Druss la Légende.
MON AVIS :Il y a quelque temps j’avais lu « les épées du jour et de la nuit », j’avais donc découvert ce personnage de Skilgannon tout en restant perplexe : j’avais loupé un livre de Gemmel. N’arrivant pas à me le procurer à l’époque, j’avais oublié son existence. Ce fut donc avec grand plaisir qu’en parcourant ma bibliothèque numérique, j’aperçus Loup Blanc. Comme à chaque fois que je lis un Gemmel, l’action me happe trop vite, je dis trop, car il ne me reste plus que deux livres de l’auteur à lire, snif. Trêve de larmoiement, car c’est avec grand plaisir que je me retrouve emporté dans ces histoires sans temps morts, avec ces personnages torturés qu’affectionne Gemmel. Dans ce roman apparaît donc Skilgannon combattant et général hors pair, mais responsable de la mort de milliers de personnes. Ce personnage va évidemment se jeter dans une quête au cours de laquelle d’autres personnages vont se greffer dont la Legende : Druss. Si le schéma est somme toute assez classique, les rebondissements, l’atmosphère, le rythme, les combats, la magie, tout est là pour nous offrir un bouquin de fantasy prenant. A noter qu’outre la présence de Druss, de petites références à Waylander sont faites, ce livre s’inscrit très bien dans le cycle Drenaï. Etant un inconditionnel de Gemmel, les reproches que je peux faire sont assez rares, et cela se confirme encore cette fois-ci.
MA NOTE : 9.5/10
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