Quand le commandant Corso est chargé d’enquêter sur une
série de meurtres de strip-teaseuses, il pense avoir affaire à une traque
criminelle classique.
Il a tort : c’est d’un duel qu’il s’agit. Un combat à mort avec son principal suspect, Philippe Sobieski, peintre, débauché, assassin.
Mais ce duel est bien plus encore : une plongée dans les méandres du porno, du bondage et de la perversité sous toutes ses formes. Un vertige noir dans lequel Corso se perdra lui-même, apprenant à ses dépens qu’un assassin peut en cacher un autre, et que la réalité d’un flic peut totalement basculer, surtout quand il s’agit de la jouissance par le Mal.
Il a tort : c’est d’un duel qu’il s’agit. Un combat à mort avec son principal suspect, Philippe Sobieski, peintre, débauché, assassin.
Mais ce duel est bien plus encore : une plongée dans les méandres du porno, du bondage et de la perversité sous toutes ses formes. Un vertige noir dans lequel Corso se perdra lui-même, apprenant à ses dépens qu’un assassin peut en cacher un autre, et que la réalité d’un flic peut totalement basculer, surtout quand il s’agit de la jouissance par le Mal.
MON AVIS : Je suis toujours un peu mitigé quand je commence un Grangé,
car je trouve que ses romans sont inégaux en qualité. Celui-ci tient son quota
de scène glauque et assez trash, il faut dire que la trame se déroule dans le
milieu du SM extrême. Le personnage principal n’a rien d’extraordinaire, il
s’agit d’un flic ayant un vécu chargé,
notamment grâce à une ex-femme ayant des pratiques …comment dire… qui font mal
rien qu’à la lecture. Mais, généralement, ce genre de personnage, un peu abimé
par la vie, mais luttant pour ne pas s’y abimer, me plait bien.
Ce flic, donc, va évoluer dans le milieu du SM afin de
résoudre une série de meurtres composée telles des peintures de Goya, certaines
réelles (Pinturas
negras), d’autres imaginaires (Pinturas royas). Les
descriptions des pratiques ou des corps sont faites sans fioritures, c’est gore et cela occasionne même quelques
crispations lorsque l’on imagine la douleur ressentie. Ceci di,t nous
n’assistons pas non plus à un concours de torture, tout ce qui est évoqué est
au passé, cela ne se déroule pas « sous nos yeux ».
La trame est bien construite, mais je n’ai pas été
complètement convaincu par la fin, je m’attendais à quelque chose de plus
surprenant. Egalement, j’ai trouvé une certaine redondance avec ce peintre
auquel toutes les femmes succombent. Bon polar donc, mais pas complètement
abouti à mon goût , il manque un je ne sais quoi de surprenant qui aurait
permis de me convaincre pleinement.
MA NOTE : 7/10
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